Archives 2012

Du 5 au 12 décembre, nous avons accueilli à Mornant une délégation de la municipalité de Sapouy. Le 6 décembre a été officiellement signée la charte de jumelage-coopération entre nos deux communes.

Le programme du séjour de la délégation sapouyenne

La cérémonie de signature de la charte de jumelage (vidéo)

Quelques photos du séjour de la délégation (diaporama)

Le cadeau de la commune de Sapouy à la commune de Mornant : Monographie de Sapouy (situation géographique, caractéristiques physiques, données socio-démographiques, ...) :

Monographie de Sapouy

Cet automne, les séjours à Sapouy de Geneviève et René Clerjon et d'Anne-Lise et Jean Sébastien Arnoux ont permis de finaliser la venue de la délégation sapouyenne.

CR en images et en musique du séjour d'Anne-Lise et Séb !

Karité, Spiruline, Bio-Gaz à Sapouy (reportage de Séb)



Archives 2011

Projet Burkina Sol : des panneaux photovoltaïques et des LED basse consommation pour l'école maternelle de Sapouy ! Les 4 étudiants de Burkina Sol vous donnent rendez vous ce Samedi 9 Avril de 11h à 15h sur la place des arbres de Mornant. Ils organisent un concert de soutien et une vente de saucisses frites dans le but de récolter quelques fonds pour la réalisation du projet. Venez nombreux soutenir cette action. Grâce à votre participation , vous apporterez un peu de lumière à cette petite école du centre de l'Afrique.

Bebey Prince Bissongo et son groupe d'afro-beat ont enflammé, le 19 mars dernier, la soirée festive organisée par AMS à la salle Noël Delorme de Mornant !

Compte rendu de la soirée ici : Article et Photos

Flyer ici : Flyer NetB Bebey Prince Bissongo en concert

Un court extrait du spectacle de Mornant :

Pour mieux connaître Bebey Prince Bissongo, une vidéo ici :

Bebey Prince Bissongo (vidéo TLM)


Archives 2010


Burkina Faso 2003-2012 - Juillet 2007 : Coton biologique, Relations Burkina-Chine, Cinéma, Sports, Grève du 18 juillet

Coton biologique burkinabè

De nombreux débouchés aux Etats-Unis

L'Union nationale des producteurs de coton du Burkina (UNPCB) et trois firmes de commercialisation et de transformation de coton biologique (Alok industrie, Mas Holding et Victoria's secret)) ont procédé à la signature d'un accord de partenariat, lundi 16 juillet 2007, à Ouagadougou.

La culture du coton biologique au Burkina Faso, vient de franchir un pas décisif. Avec la signature de partenariat entre l'Union nationale des producteurs de coton du Burkina (UNPCB) et les trois firmes que sont Alok industrie, Mas Holding et Victoria's secret, intervenue lundi 16 juillet 2007, le coton biologique dispose désormais d'acheteurs et des transformateurs "très fiables". Dans le cadre du partenariat avec l'UNPCB (2004-2012), une gamme de sous-vêtements et de tee-shirts "100% Burkina" sera produite par Alok (de l'Inde) et Mas Holding (du Sri Lanka).
Cette production devrait être commercialisée par la première firme de lingerie américaine, Victoria's secret.

Le "géant" Alok industries est le plus grand producteur de tissu et de broderie de l'Inde. Quant au groupe Mas holding, il est le leader mondial dans la fabrication des vêtements pour différentes marques dont Victoria's secret, Marks ans Spencer, Speed, Nike et Adidas. Il est le plus grand exportateur de textile de l'Asie du Sud.
Le partenariat avec l'UNPCB constitue le plus grand investissement privé srilankais à l'extérieur.
De l'avis du président de l'UNPCB, François Traoré, ce partenariat au-delà des enjeux purement commerciaux et financiers, contribuera à l'amélioration des conditions de vie des populations productrices du coton biologique. "Ce coton, dans la mesure où il permet de tisser les partenariats, permet à des femmes d'avoir des revenus, doit être un produit qui fait la fierté des Burkinabè" a-t-il souligné.

Le directeur de Victoria's secret Mark Newman est convaincu que sa société peut, à travers un partenariat avec l'UNPCB, avoir du succès en transformant le coton biologique burkinabè.
Le coton biologique est produit dans le cadre du programme de promotion et commercialisation que l'UNPCB met en œuvre en accord avec le gouvernement du Burkina Faso et avec l'appui de partenaires techniques et financiers. Ce programme vise, entre autres, à encourager des pratiques agricoles durables, rentables et sans danger pour les producteurs de coton, à améliorer les conditions de vie des populations rurales.
Le coton biologique est produit à Tiéfora à l'Ouest, dans le Ioba dans le Sud-Ouest, dans la zone de Pô au Sud et dans la zone de Fada N'Gourma à l'Est du Burkina Faso. En 2006/2007, 1151 producteurs dont 42% de femmes ont produit plus de 347 tonnes de coton biologique.
Plusieurs femmes membres de l'Association des femmes productrices de coton biologique de Tiéfora ont assisté à la signature de partenariat.

Alban KINI, David BARTHES
(Sidwaya, Juillet 2007)

Une productrice apprécie

Korotimi Sory, présidente de l'association des productrices du coton biologique de Tiéfora

Korotimi Sory, présidente de l'association des productrices du coton biologique de Tiéfora : "Cela fait trois ans que nous cultivons le coton biologique et nous avons des retombées positives de cette culture. A telle enseigne que, de trente femmes au départ, nous sommes de nos jours, une soixantaine.

Grâce à l'argent que nous gagnons, nous arrivons à subvenir à nos besoins qui se résument essentiellement à la scolarisation des enfants, l'achat d'ustensiles, l'alimentation, etc. Lorsque nous commencions, certaines personnes nous condamnaient pour notre option pour le coton biologique qui selon elles, a des conséquences néfastes.
Mais aujourd'hui, beaucoup de ces personnes nous rejoignent dans la culture de ce coton, vue l'avantage que cela présente.

Nous souhaitons qu'à l'issue de cette signature de partenariat, notre situation s'améliore davantage".

Coupe d’Afrique des Nations CAN GHANA 2008
Les Etalons ne seront pas au rendez-vous ...

Malgré la débauche d'énergie, Moumouni Dagano ne parviendra pas à marquer ...

Les Etalons du Burkina Faso ont perdu toute chance de participer à la CAN 2008 en concédant pour la seconde fois par 1 but à 0, une défaite à l'équipe nationale de Tanzanie le samedi 16 juin 2007 au stade du 4 Août. Le but assassin est intervenu à la 70e minute par Erasto Nyonu alors que la défense des Etalons croyait à un hors-jeu.
Et pourtant les burkinabè devaient gagner coûte que coûte ce match pour espérer être les meilleurs deuxièmes à la faveur de la dernière journée contre les Lions du Sénégal.
Avant l'avènement de ce but qui élimine de fait les Etalons, les burkinabè dominaient la partie en mettant la pression dans le camp adverse. Mais les nombreuses occasions ne seront pas concrétisées.
Pour Didier Notheaux, c'est une grosse déception, vu que les Etalons ont développé un beau jeu, sans toutefois parvenir à concrétiser les nombreuses occasions qu'ils ont eues. L'expulsion prématurée de Moussa Ouattara y est également pour quelque chose, affirme Didier Notheaux. Quant à Mady Panandetiguiri, l'un des meilleurs hommes du match, les Etalons n'ont tout simplement pas eu de chance. Contre le Sénégal, les Etalons tenteront de sauver l'honneur, ajoutera-t-il, très déçu.

 

Les Etalons disent adieu à la CAN Ghana 2008 !

Site officiel de la FBF : http://www.fasofoot.com

Un deuxième centre hospitalier universitaire dans deux ans

L'Etat burkinabè, avec l'appui de la République de Chine (Taïwan), a entrepris la construction d'un nouveau Centre hospitalier universitaire (CHU) à Ouagadougou. Le président du Faso Blaise Compaoré et le ministre des Affaires étrangères taïwanais James C.F. Hung ont procédé, mardi 10 juillet 2007 à la pose de la première pierre de l'infrastructure à Tingango.

Le nouveau centre hospitalier national dont la construction a été lancée hier, 10 juillet 2007 à Ouagadougou, comportera tous les services spécialisés et un département de formation et de recherche universitaire. Il aura une capacité d’hospitalisation de 600 lits avec un pool administratif, médico-technique et des services généraux. Le CHU occupera une superficie de 101 hectares.

Le style architectural adopté est semi pavillonnaire avec un ou deux niveaux au plus. 39 bâtiments vont pousser d’ici à deux ans, délai des travaux.
Tous les équipements électriques de l’hôpital seront conformes aux normes électriques burkinabè et des plus récentes technologies. Il s’agira, selon les autorités burkinabè, de la toute première infrastructure sanitaire de l’Afrique de l’Ouest à fonctionner selon un système intégré de gestion des informations hospitalières. Ce projet d’envergure, dont la première phase de réalisation a un coût de 40 milliards de F CFA, est le fruit d’une coopération entre le Burkina Faso et la République de Chine.
D’où sa contribution à la construction du CHU. Un geste qui tombe à pic, selon le ministre de la Santé, Alain Bédouma Yoda. En effet, il a fait savoir que le renforcement en infrastructures sanitaires villageoises urbaines et régionales exigeait leurs améliorations.

“Et les trois CHU à savoir Yalgado-Ouédraogo, Sanou-Sourou et Charles-De-Gaulle sont dépassés. Yalgado n’arrive plus à faire face aux multiples demandes d’une population urbaine en pleine croissance et à des malades de plus en plus nombreux référés par les formations sanitaires régionales”, a expliqué M. Yoda.

De ses propos, il ressort que le nouvel hôpital sera le centre névralgique du réseau des CHU de Ouagadougou et s’intégrera par sa modernité et ses formes architecturales au vaste ensemble en plein essor que constitue Ouaga 2000.
Tingango, village relevant de la commune rurale de Komsilga, va abriter l’hôpital. La population de ladite localité est sortie massivement pour assister au lancement des travaux. En liesse, munie des drapeaux burkinabè et chinois, elle a accueilli M. Compaoré et la délégation chinoise accompagnés d’autres personnalités du Burkina.

Séraphine SOME (Quotidien Sidwaya 11 juillet 2007)

Le président du Faso, Blaise Compaoré s’exprime sur le projet

“Le nouveau Centre hospitalier universitaire de Ouagadougou vient traiter d’une question qui est une préoccupation fondamentale pour nous, à savoir la promotion de la santé, la valorisation du capital humain à travers une meilleure santé pour les burkinabè. Nous savons aussi que c’est une infrastructure qui apportera dans le domaine de la formation, des techniciens en matière de santé. Nous ne pouvons que nous réjouir de ces instants et nous attendons, bien sûr, la finalisation de ce projet afin de nous sentir comme les autres burkinabè, que cela apportera à notre santé, ce qui est essentiel pour nous amener à nous mettre davantage au travail pour mieux agir au profit du Burkina Faso.
Je pense que le Burkina est un Etat souverain qui entretient des relations avec tous les pays du monde de façon égalitaire sur le plan des respects mutuels et de celui du partage de ce que nous avons à donner l’un à l’autre. Les années de coopération que nous avons vécues avec la Chine Taïwan sont des années exemplaires et de relations sincères que nous saluons et entendons maintenir.
La République de la Chine s’intéresse à tout ce qui est essentiel au Burkina Faso, comme la santé, l’agriculture, etc. Il y a un volet important de cette coopération qui sera incessamment lancé, à savoir la formation professionnelle car il y a au moins 17 centres d’enseignements techniques qui seront réalisés par la République de Chine.
Tout cela, pour consolider la formation technique des jeunes au Burkina Faso. C’est dire que l’éventail de la coopération entre nos deux Etats est très large”.

Propos recueillis par Ali TRAORE (Quotidien Sidwaya 11 juillet 2007)

 


Festival Ciné Droit Libre à Ouagadougou :

Ci-dessous, la bande-annonce du festival Ciné Droit Libre Juillet 2007 :


Ci-dessous, extrait d'un reportage sur l'édition 2005 de "Ciné Droit Libre", Festival de film sur les Droits Humains et la Liberté d'Expression à Ouagadougou (Burkina Faso)
Plus d'infos :
www.semfilms.bf



«Sankara, l’homme intègre»,

documentaire du réalisateur belge Robin Shuffield

Déclaré irrecevable au Fespaco 2007 pour des raisons vaporeuses, le film «Sankara, l’homme intègre» du réalisateur belge Robin Shuffield a crevé le grand écran à l’occasion de la 3e édition de Ciné droit libre. Si les organisateurs avaient institué un prix du public, il l’aurait remporté haut la main.

En tout cas, pour ce festival qui se voulait non seulement libre d’accès mais qui voulait aller «droit au but sur les questions liées aux droits humains et à la liberté d’expression», le documentaire sur Thom Sank était une arme fatale. Surtout, ici, au Faso, où il fait l’objet d’une censure casuelle. En plus d’avoir été un grand point d’attraction, le célèbre documentaire sur Sankara a été au cœur du débat le plus pimenté du festival.

Invité comme panéliste lors du débat qui a suivi la projection du film au Centre culturel français, l’honorable Pr Basile Guissou, un des compagnons du Capitaine Thomas Sankara, est sorti de ses gonds pour dire tout le mal qu’il pense de ceux qui le prennent pour «un traître». Plus de peur que de mal, les échanges se sont terminés dans la bonne humeur, même si la moitié de la salle est allée voir ailleurs.  

Pour un festival qui a choisi de libérer le cinéma de tous les carcans institutionnels et légaux, Ciné droit libre a réussi un grand coup cette année en donnant à voir des films aussi intéressants que dissidents. Entre «Les maux de la faim», «Marchands de miracles», «Sales affaires du pétrole», «Mascarades: élections au Togo», il y avait de quoi donner du tournis à ceux qui sont habitués au cinéma à l’eau de rose.

Quand on sait que Thom Sank s’est toujours illustré comme l’un des chefs d’État africains qui pouvaient dire tout ce qu’il pense ou presque, il ne pouvait qu’être le héros immortel d’un festival qui ne s’embarrasse pas de salamalecs. En attendant, que le film «Sankara, l’homme intègre» passe sur les écrans officiels du Faso - symboliquement le 15 octobre prochain, à l’occasion du 20e anniversaire de sa tragique disparition - ou non, les organisateurs de Ciné droit libre ont eu le mérite de faire d’une pierre plusieurs coups: rendre hommage à la mémoire du Capitaine en même temps qu’à celle du professeur Joseph Ki-Zerbo et au cinéaste Sembène Ousmane.

En tout cas, pour ce festival qui se voulait non seulement libre d’accès mais qui voulait aller «droit au but sur les questions liées aux droits humains et à la liberté d’expression», le documentaire sur Thom Sank était une arme fatale. Surtout, ici, au Faso, où il fait l’objet d’une censure casuelle. En plus d’avoir été un grand point d’attraction, le célèbre documentaire sur Sankara a été au cœur du débat le plus pimenté du festival.

Invité comme panéliste lors du débat qui a suivi la projection du film au Centre culturel français, l’honorable Pr Basile Guissou, un des compagnons du Capitaine Thomas Sankara, est sorti de ses gonds pour dire tout le mal qu’il pense de ceux qui le prennent pour «un traître». Plus de peur que de mal, les échanges se sont terminés dans la bonne humeur, même si la moitié de la salle est allée voir ailleurs. 

Bendré - Juillet 2007

Grève du 18 juillet contre “la vie chère”

Les travailleurs organisent une marche-meeting

Les principaux responsables syndicaux étaient à la tête des marcheurs

A l'appel des centrales syndicales et des syndicats autonomes, des travailleurs ont observé une grève de 24 heures ponctuée d'une marche dans des rues de Ouagadougou, le mercredi 18 juillet 2007. Objectif, lutter contre la vie chère et les atteintes aux libertés syndicales.

La cessation de travail suivie d'une marche-meeting observée par les militants des centrales syndicales et des syndicats autonomes, le mercredi 18 juillet 2007 s'est déroulée autour de deux points : la hausse des prix des hydrocarbures et les sanctions contre des militants du Syndicat autonome des agents du ministère des Affaires étrangères et ceux du Syndicat des agents du Trésor du Burkina.

A la Bourse du travail, point de départ de la marche-meeting, très tôt dans la matinée, l'ambiance était à la mobilisation et à l'étude des slogans pour animer la marche. A 9 heures, les marcheurs, amenés par les responsables syndicaux, dont le président du mois, Mamadou Nama, se mettent en branle. Les grévistes sillonnent les artères de la rue Patrice Lumumba, des avenues Ilboudo Waggandé, Kwamé N'Krumah, Dimdolobsom, de la liberté, de l'armée, pour revenir à leur quartier général, la Bourse du travail. Ce sont environ plus de 5 km qui ont été parcourus par les marcheurs au cri de slogans contre "l'augmentation intempestive des prix des hydrocarbures, les sanctions contre le SAMAE, le SATB, les menaces contre les syndicats, les menaces contre les libertés syndicales, etc.".

Le syndicaliste Mamadou Nama et Blaise Compaoré, président du Burkina

(Hebdomadaire burkinabè Le journal du Jeudi)

De retour à la Bourse de travail, l'ambiance est montée d'un cran sous la musique d'Alpha Blondy dédiée à Norbert Zongo. En un laps de temps, le lieu s'est transformé en piste de danse. Ouvrant la liste des orateurs, Sansan Victor Hien, président du mois des syndicats autonomes, a exhorté les militants à "se lever pour ne pas mourir". Et le secrétaire général du CNTB, Laurent Ouédraogo, de renchérir : "La mobilisation de ce matin prouve que nous pouvons aller très loin". Il a terminé en saluant la participation des femmes, sorties massivement. Il a été rejoint par Jean Mathias Liliou, secrétaire général de la CSB, qui a également fait un clin d'œil à la gent féminine. Monsieur Liliou a, en outre, insisté sur la marge bénéficiaire de l'Etat sur les hydrocarbures, estimée à 264 F CFA par litre. Toujours dans la liste des discours, Tolé Sagnon, vice-président du mois a martelé : "il y a une réalité au Faso, la vie est chère". Pour lui, les sanctions infligées aux militants du SAMAE et du SATB sont un message du gouvernement adressé aux syndicats. En guise de conclusion, le président du mois des centrales syndicales, Mamadou Nama, a réaffirmé le serment des responsables syndicaux qui est de "défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs".

D'où l'importance, selon lui, du respect par les autorités, des libertés syndicales. "Nous demandons à l'ensemble de nos structures et militants, à tous les travailleurs du Burkina Faso, d'accorder à cette exigence du respect de la liberté syndicale, toute l'importance qu'elle mérite car c'est cette liberté syndicale qui nous permet de nous organiser et de lutter pour nos droits économiques et sociaux"; a-t-il aussi déclaré aux travailleurs.

Des syndicalistes du Bénin, du Niger et de la Guinée Conakry, étaient aux côtés de leurs homologues burkinabè

Pour cette grève et cette marche meeting, les syndicalistes burkinabè ont reçu le soutien de leurs homologues du Niger, du Bénin, de la Guinée-Conakry, qui ont effectué le déplacement de Ouagadougou.

Alassane KERE
David Barthes
(Sidwaya 20 Juillet 2007)





Date de création : 23/04/2007 @ 22:49
Dernière modification : 29/09/2012 @ 17:42
Catégorie : Burkina Faso 2003-2012


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